Vendredi 10 mai 5 10 /05 /Mai 12:42

Je reste six semaines à étudier et à répéter, ici. Une fois par semaine, la mère m’invite à une petite soirée esclave/chienne. A part ça, je travaille... Je n’écris pas tout ce qui se passe, à part deux jours avant mon départ. Je dois présenter l’extrait de Roméo et Juliette. C’est à ce moment qu’une sœur me dit :
— Si tu ne réussis pas, tu refais six semaines.
Des filles m’avaient déjà dit ça et il paraît que c’est écrit dans le contrat que j’ai signé. Tout sauf passer six semaines de plus ici. J’ai beaucoup répété avec Joan qui joue Roméo. On s’embrasse mais c’est tout. Elle est fidèle, la conne. Elle est aussi bien décidée à réussir cet examen. Là, j’écris en détail.
***
Ce soir on joue notre scène devant les sœurs, les élèves et des gens de l’extérieur. On est derrière la scène et on s’habille dans des vêtements qui ressemblent plus ou moins à ceux qu’on portait au 16e siècle. Une belle robe au décolleté pigeonnant pour moi, des culottes et une chemise pour Joan. Avant de monter sur scène, Joan/Roméo me prend par la taille et me dit :
— On donne tout ce soir ! Je ne veux pas passer six semaines de plus ici. Tu pleures vraiment et on s’embrasse vraiment. D’accord ?
— Avec plaisir.
Une fille vient dire :
— C’est à vous, les amoureux.
On va sur la scène dans le noir... les lumières s’allument et on joue.
       Je ne vais pas écrire toute la partie qu’on joue. Je pleure vraiment un moment... et puis vient la dernière scène. Celle que j’aime jouer avec Joan/Romeo, parce qu’elle me plaît vraiment :
*
- Roméo – Oh ! alors, chère sainte, que les lèvres fassent ce que font les mains. Elles te prient ; exauce-les, de peur que leur foi ne se change en désespoir.
- Juliette – Les saintes restent immobiles, tout en exauçant les prières.
- Roméo – Restez donc immobile, tandis que je recueillerai l’effet de ma prière. (Elle m’embrasse sur la bouche, comme Roméo aurait embrassé Juliette.)
- Roméo – Vos lèvres ont effacé le péché des miennes.
- Juliette – Mes lèvres ont gardé pour elles le péché qu’elles ont pris des vôtres.
- Roméo – Vous avez pris le péché de mes lèvres ? Ô reproche charmant ! Alors rendez-moi mon péché. (Elle m’embrasse encore.)
- Juliette – Vous avez l’art des baisers.
 

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Voilà... On va sur le devant de la scène et on salue et... tout le monde applaudit. Quelles sensations extraordinaires, d’abord les baisers de Joan puis les applaudissements. J’ai les jambes molles et la tête qui tourne. Je ne vais quand même pas me trouver mal comme les femmes du 17e siècle...
Joan me donne un petit coup de coude. Je respire un grand coup et mon petit malaise disparaît. Les "sels" à respirer, ce sera pour une autre fois. On quitte la scène...
Depuis les coulisses, on entend les autres filles jouer. J’ai le blues... Pas de quitter cet endroit, parce qu’il faut beaucoup travailler, mais je me suis bien amusée avec la mère et puis j’ai vraiment appris à jouer... Non, ce qui me rend triste, c’est... Joan me dit :
— Qu’est-ce que tu as de nouveau, Ashley ?
Les larmes aux yeux, je réponds :
— Tu joues bien... on aurait pu croire que tu aimais vraiment m’embrasser.
— J’aime t’embrasser... mais... mon cœur est pris ailleurs comme on dit dans Roméo et Juliette.
— Mais, ce n’est pas ton cœur que je veux, c’est... te lécher.
Elle rit et dit :
— Les pieds ?
— Les pieds, les seins, la chatte...
— Tu te moques de moi ?
— Non, je te jure.
— Tu peux sucer mes orteils et lécher ma chatte.
Dis de cette façon ça manque de poésie, mais oui, c’est ce que je veux. Elle ajoute :
— Change de tête tout de suite alors.
Je lui fais un grand sourire. J’ai appris à passer d’une émotion à l’autre, ici. Quand toutes les filles sont passées, on se retrouve avec les sœurs... On a même droit à un verre de vin blanc de la région.
Le soir, je rejoins Joan dans son lit et je m’unis charnellement à elle. J’adore la douceur de sa peau, ses odeurs, ses goûts. Les deux autres filles allument pour nous regarder.

 

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Dommage qu’on n’ait pas fait ça plutôt. Je fais jouir Joan en la léchant... J’en rêvais. Après demain, on se quitte mais j’ai son numéro de téléphone et je reverrai mon... Roméo.
Voilà, j’ai mon diplôme. D’accord, des études de six semaines, c’est peu. Cependant, il s’agit de six semaines de travail intensif. Je boucle mon sac et dis au revoir à tout le monde, depuis la mère jusqu’aux élèves, mais pas aux esclaves. Elles, ce sont des objets, genre ustensiles de ménage. Quand on quitte une maison, on ne dit pas au revoir au balai ou à la serpillière !
Je vais revoir Joan et la mère aussi. Elle a beaucoup de relations et c’est une amie de Sam, mon mentor et patron.
Je rends mon uniforme et je mets une de mes deux robes. Devinez qui vient me chercher : Summer. Je saute à son cou et l’embrasse... Oui, j’ai appris à montrer mes émotions. Elle me repousse en riant et me dit :
— Il paraît que tu as joué Juliette...
— Oui et j’ai pensé à vous.
— Je me demande si le personnage de Messaline ne t’irait pas mieux.
Messaline... Je ne sais pas qui c’est et je préfère ne pas le lui demander. Je lui dis :
— Où va-t-on ?
— On doit passer au studio. Il y aura tous les gens concernés par le film. Ils veulent te faire jouer dans un film rapidement, un grand rôle... mais tu devras étudier ton texte et être en forme. Après la soirée à Venice, Monsieur Sam m’a tiré les oreilles...
— Et vous lui avez tiré une balle dans le ventre plus une dans le genou.
Elle rigole et répond :
— Je ne tue pas mes employeurs, ce serait contre-productif.
— Je peux vous tutoyer ?
— Bien sûr, sotte.
— Tu resteras avec moi ?
— Ce n’est pas prévu...
— Je te paierai.
— T’es fauchée, petit singe.
— Je vous ferai une reconnaissance de dette de 1000 $
— Putain, t’es cinglée... On verra ce que va dire Monsieur Sam.
On arrive à Hollywood, puis devant les studios : c’est immense. Il y a un immeuble de... 20 étages au moins et tout autour, des hangars blancs. Summer me dit :
— On tourne une série de films et de feuilletons en même temps.
Les studios s’appellent "World First Medias". Oui, ça veut tout dire. Deux gardes sont à l’entrée. Ils sont sans doute prévenus de notre venue, car ils ouvrent la grille en saluant. On se gare au sous-sol de l’immeuble. Ensuite on prend un ascenseur extérieur. Ouch ! Le plancher est transparent et je vois le sol s’éloigner sous mes pieds à toute vitesse. Je me serre aussitôt contre Summer. Elle me dit :
— Là-haut, ne fais pas trop la gamine.
Eh ! Je viens de la campagne, moi, j’ai pas l’habitude des ascenseurs de science-fiction. Bon, ça va, on survit. On arrive au dernier étage, c’est-à-dire... dans une forêt tropicale ! Il y a des arbres, des plantes et même des oiseaux. Pourvu qu’il n’y ait pas de jaguar. Plutôt que de dire à Summer "Mais c’est quoi, ce truc de dingue ?" je joue les blasées : on prend un ascenseur et on arrive dans une forêt : normal... Elle me dit quand même :
— Ferme la bouche, Ashley et suis-moi !
Oui, bon, pas si blasée que ça. Heureusement, il y a un sentier, pas besoin de machette. On arrive dans une petite clairière, là, sous une toile blanche il y a cinq personnes assises autour d’une table : Sam, mon patron et producteur, Monsieur Leyssens, mon agent et le meilleur d’Hollywood, donc du monde. Il y a aussi un grand type maigre et une femme d’une quarantaine d’années, belle brune, bien habillée et qui a des bijoux coûteux. À côté d’elle, il y a ce qui me semble être une esclave, parce qu’elle a le collier des esclaves autour du cou. Elle est pieds nus comme beaucoup d’esclaves, mais elle a des bijoux en or, y compris un anneau à la cheville. Au lieu d’être nue, elle est vêtue d’une tunique qui découvre un sein comme en portaient les Romaines. Summer me donne un coup de coude. OK, je ferme ma bouche et je vais embrasser Sam et Monsieur Leyssens et puis les autres, même l’esclave. Ils ont l’ait très surpris de ces baisers. Chez nous, à la campagne, on s’embrasse. Par contre, Summer leur dit bonjour, mais ne leur serre même pas la main. Sam lui dit :
— Merci Summer, tu peux nous laisser.
Je réponds très vite :
— Je l’ai engagée.
Tête des gros bonnets ! Ben quoi, je peux engager une mercenaire, non ? La femme bien habillée dit à Summer :
— Elle joue un rôle, là, ta copine ?
— Non Madame Wolf. Elle est très... spontanée.
— C’est amusant...
Sam dit :
— On en reparlera. Ce sera peut-être utile que Summer s’occupe d’elle à voir à quel point elle est... spontanée.
Puis à moi :
— Il paraît que tu as été très bonne dans la scène de Roméo et Juliette. Ça a presque fini par une étreinte sur scène.
— Non, ça, c’était après dans la chambre.
Je les cueille à nouveau... ben oui, j’ai de la répartie, on me l’a dit en impro. Monsieur Sam me dit :
— Tu vas nous montrer ça. Tiens, Summer, tu feras Roméo.
Chouette ! Il lui tend des feuilles. Summer me dit tout bas :
— Joue en montrant ton amour pour Roméo et ta peur de le perdre, mais sans en faire des tonnes.
Elle lit, je joue.... À deux reprises, je pleure vraiment et je l’embrasse avec passion. Quand c’est fini, je regarde mon public. Et alors, ils n’applaudissent pas ? Non, ce n’est pas le genre. Madame Wolf dit :
— Qu’est-ce que tu en penses, chérie ?
Chérie, c’est son esclave. Celle-ci répond :
— Elle est belle et elle a du charisme mais il faudra la surveiller de près, c’est le genre à faire des conneries.
Oui, mais oh ! C’est les esclaves qui commandent maintenant ? Y a pas un fouet dans le coin ? Spencer approuve :
— Tout à fait d’accord, il faut la contrôler.
Madame Wolf répond :
— Je vous avais dit que ma chérie était perspicace. Elle juge tout de suite les gens.
Les autres approuvent. Je dois juste penser à une chose : je vais faire du cinéma et j'aurai peut être, un premier rôle.

A suivre.

 

 

Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.

 

 

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Tous les dessins de Bruce Morgan sont ici : www.leslivresdemia.blogspot.be


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Jeudi 16 mai 4 16 /05 /Mai 20:20

Ils discutent de la version érotique du film. Ah ? Ils font deux versions ? Madame Wolf dit à sa chérie :
— Je voudrais voir ce qu'elle vaut dans les scènes de sexe... Est-ce que ça te dirait de la tester ?
Quoi, une esclave va me tester ??? Et pourquoi pas un clochard ? La chérie répond :
— Summer et elle sont aussi négligées l'une que l'autre. Si elles faisaient ça entre elles ?
Là, Summer va lui arracher la gorge avec les dents ! Non ! Elle regarde Sam qui fait "oui" de la tête. J'ai compris : la chérie est la grande patronne des studios et elle se déguise comme ça pour s'amuser. Elle me dit :
— Je dis ça pour ton bien, petite. Je pense que tu as pris une douche ce matin... ou plutôt hier, mais tu devrais mettre du déodorant.
Je vais lui dire... rien ! Comment ça "dégonflée" ? Elle me regarde dans les yeux et... je baisse le regard, oui, vous avez raison "dégonflée". Bon... Summer enlève son jean et son tee-shirt. Elle me dit :
— Déshabille-toi et viens te mettre à genoux devant moi.
... Euh... avec elle, d'accord. J'enlève ma robe et au passage, je renifle mes aisselles. J'ai une légère odeur de transpiration, c'est tout. Quelle garce, cette fille ! Je suis sûre que son but était juste de m'humilier.
Je me mets à genoux devant Summer, le nez dans sa chatte en friche. Les mercenaires, ça ne se rase pas la chatte. Elle a une odeur forte, elle, mais j'aime son odeur. Je me cambre bien pour faire apprécier la minceur de ma taille et la rondeur de mes fesses aux autres, puis je glisse mon visage entre ses cuisses et je lèche sa chatte. J'entends la "chérie" dire :
— Maintenant, lèche-lui le cul.
Encore elle !! Le cul de Summer est mille fois plus appétissant que ta face de singe d'esclave de...
Summer se retourne et se penche en avant tandis que j'écarte ses fesses et que j'enfonce ma langue dans son anus, pour appeler une chatte, une chatte.

 

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Sam nous dit :
— C'est bon les filles, rhabillez-vous. Alors, chers amis, vous en pensez quoi ?
Ils sont tous d'accord pour dire que je suis "la" fille qu'il faut pour ce rôle... Dans ces conditions, j'ose interrompre la conversation pour dire à Madame Wolf :
— Dites, Madame, je pourrais vous demander pourquoi c'est cette fille qui me dit ce que je dois faire ?
— Ce n'est pas tes affaires. De plus, quand les grandes personnes parlent, les gamines se taisent.
La chérie me fait un grand sourire. Là, j'en ai marre ! Je me lève en disant :
— Très bien. Je vais me taire ailleurs.
Je me lève et je reprends le sentier qui nous a amenés ici. Summer me suit et me rattrape. Aïe ! Je sens qu'elle va me passer un savon. Alors, je me mets à pleurer. Elle me dit :
— Ashley ! Bordel ! Ils te donnent un rôle en or et toi tu fais des caprices.
— Ils n'ont aucune... bouh... hou... aucune considération pour moi.
— Tu veux une bonne fessée pour te remettre les idées en place ?
— NON !!
— Alors tu vas t'excuser, ensuite, tu te mets près de moi et tu la fermes ! D'accord ?
— Oui....
On retourne près d'eux. Summer dit :
— Ashley a quelque chose à vous dire...
— Je vous prie de m'excuser, je viens d'une petite ville de Georgie et je ne suis pas habituée... à...
La chérie répond :
— On t'excuse, mais n'intervient plus dans la conversation. D'accord ?
Petit coup de coude de Summer... aïe ! Je réponds :
— Oui, Mademoiselle.
Ils se remettent à discuter. Je m'assois et je boude. Je voudrais un minimum de considération et ne plus me faire engueuler par une vraie ou fausse esclave. J'ai enlevé mes chaussures et je regarde mes pieds. Oh ! Y a des fourmis sur le toit de ce building, je les observe. C'est beaucoup plus intéressant que leur discussion... et là j'entends quand même le metteur en scène dire :
— Pour moi, c'est la fille idéale pour le rôle, mais il faudrait quelqu'un pour la surveiller. Summer, ce serait bien.
Madame Wolf est du même avis, elle dit :
— Summer ce serait parfait, même si elle est chère.
Elle la regarde et ajoute :
— Un mois de tournage plus un mois de promo, combien ?
Summer me regarde, réfléchit, puis tape sur son téléphone. Madame Wolf et Sam regardent leurs tablettes. Puis ils se regardent tous les deux. Qu'est-ce qui se passe, on ne parle plus ?? Ils se regardent. Ah, j'ai compris, ils sont télépathes. Oh, après tout je m'en fous de leur petit jeu. J'ai vu un papillon ! Sur le toit de ce building, vous imaginez ?
Ah ! Sam me parle :
— Fais ce que te dira Summer. Vous pouvez y aller, les filles.
On leur dit "au revoir", pas de réponses, ils parlent entre eux. Dorénavant, plus de bisous, ils sont pas assez sympas. On entre dans la forêt tropicale et on reprend l'ascenseur, mais on s'arrête en chemin. Je suis Samia jusqu'à un bureau sur lequel il est écrit «comptabilité». Sur une table, il y a le script « 7 ans de réflexions, remake » et une carte de crédit. Elle prend le tout. Pourquoi c'est elle qui a la carte ? Summer voit tout de suite à ma tête que ça ne me plaît pas, elle me dit :
— Y a un problème Ashley ?
— Non... enfin si, ils auraient pu me donner une avance.
— Monsieur Sam préfère que tu dépendes entièrement de moi. Un genre d'esclave, quoi. Mais moi, je veux une esclave souriante, sinon...
Je lui fais un grand sourire. On reprend l'ascenseur. A nouveau, je vois le vide sous mes pieds. C'est ridicule mais je prends à nouveau la main de Summer. On arrive saines et sauves en bas et on reprend sa voiture. Je lui dis :
— Et maintenant, où qu'on va ?
— Tu veux sans doute dire "où va-t-on ?"
— Où va-t-on, Mademoiselle Summer ?
— On va prendre une chambre près d'ici. Ensuite, tu apprends les cinq premières pages de ton rôle par cœur. Quand c'est fait, on va manger.
— Et si je n'y arrive pas aussi vite ?
— Tu manges pas !
C'est Summer, ça ! Je lui demande encore :
— On fera des courses ?
— Oui, dès que tu connais ton rôle.
C'est une obsession ! Elle entre dans le parking d'un motel, mais rien à voir avec celui où elle logeait dans Watts. Ici, ce sont des bungalows entourés de palmiers et de plantes à fleurs... On se gare et on va au bureau. Une réceptionniste nous regarde d'un air un peu dégoûté. Il faut dire que nos vêtements sont un peu défraîchis. Summer va la secouer ! Non, elle lui dit :
— On voudrait un bungalow à côté de la piscine.
— C'est que...
— C'est Monsieur Sam Boizano qui m'a conseillé de venir ici.
Elle lui tend la carte de crédit. Le nom de Sam plus la carte, c'est magique ! Aussitôt, la fille lui dit :
— Certainement Mademoiselle. J'ai un bungalow juste à côté de la piscine.
Elle prend la carte, la scanne et lui donne la clé, sous forme de carte aussi. Bizarre ! La fille ajoute :
— Si vous voulez aller à la cafeteria, ce sera mis sur la note et si vous avez besoin de quoi que ce soit, n'hésitez pas.
— Merci.
On reprend la voiture et on va se garer devant un bungalow. On a une petite terrasse qui donne sur la piscine. C'est super beau... Seul petit problème, dès qu'on est entrées, Summer coupe l'air conditionné et se déshabille. Elle me dit :
— J'aime pas ça.
Moi, j'aime bien ! Elle me donne cinq feuilles du script en disant :
— Apprends ça.
— Tout ?
Elle me regarde et je dis très vite :
— Je prends à boire et je m'y mets.
Elle tape sur sa tablette et me montre un texte en disant :
— Tu dois au moins savoir de quoi il s'agit.
Je lis :
***
Richard Sherman, un employé dans une maison d'édition spécialisée dans les livres avec des couvertures aguichantes, a accompagné sa femme Helen et son fils Ricky à la gare pour les vacances. Il rentre chez lui et fait la connaissance d'une nouvelle voisine, une jeune femme belle et sexy, qui a emménagé dans l'appartement des voisins du dessus. Elle vient se présenter à lui et il est subjugué par sa beauté. De fil en aiguille, d'un premier rendez-vous au suivant, une relation avec la belle voisine va commencer.
***
Pas mal, ça me plaît. Summer a mis un maillot et elle me dit :
— Je vais nager, étudie.
Oui, mais... heuuu !! Et moi ? Je lis le texte, le relis... J'observe un peu deux mouches pratiquant la sodomie. Elle est déjà de retour et me dit :
— Alors, tu connais ? Récite ton texte !
Je commence les premiers dialogues et je cale. Elle ouvre un tiroir et me donne des feuilles de papier à lettres en disant :
— Copie-le.
Elle repart... ppppffff... je recopie tout... Elle revient 15 minutes plus tard. Je récite le texte et je cale, mais nettement plus loin. C'est quand même mieux, non ? Non, elle me dit :
— Recopie-le.
J'en ai les larmes aux yeux. Je lui dis :
— C'est parce que j'ai trop faim...
— Non, c'est parce que tu ne t'appliques pas. Recopie !
Je recopie tout le texte à nouveau. Quand j'ai presque fini, elle revient avec une énorme glace, avec du chocolat, de la chantilly et des petits parasols. Elle s'assied devant moi et mange bruyamment en m'expliquant à quel point c'est bon. Je lui arracherais bien sa glace... Tout en mangeant, elle me dit :
— Il y a aussi une autre façon de te stimuler. Je prends ma sandale, je te couche sur mes genoux et je tape sur tes fesses jusqu'à ce qu'elles soient aussi rouges qu'une tomate bien mûre.
Je me lève pour la gifler... ou je prends mes feuilles et je vais dans la salle de bain m'installer dans la baignoire.

 

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Là, je lis et je retiens. Dix minutes plus tard, je reviens dans la chambre. Summer a arrêté de manger et l'énorme glace est là, occupée de fondre. Je lui dis :
— Je connais.
— Bien... je te donne la réplique.
On joue et je n'oublie rien, pas une virgule, pas un point sur un i. C'est une image. Elle me dit :
— Tu peux manger ce qui reste.
Je mange la glace avec un tel plaisir que j'ai presque un orgasme. Quand il ne reste plus un microgramme de glace, de chantilly ou de caramel, je lui dis :
— Merci.
— Pour la glace ou pour t'avoir stimulée ?
— Les deux.

A suivre.


Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.

 

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Les tomes 1 à 5 de "Mia sans dessous" sont ici :
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html

Mes livres non illustrés, ici : https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …

Les planches originales des dessins des 5 "Mia sans dessous", signées par Bruce Morgan et en format A 4, sont en vente ici brucemorgan@hotmail.fr
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Jeudi 23 mai 4 23 /05 /Mai 20:52

Il ne faudrait pas croire que j'aime quand Summer me traite comme une gamine, mais... par moment, il me faut quelqu'un de ferme. Je suis bien ici avec elle, je suis rassurée. La seule chose qui me dérange un peu, c'est la chaleur, étant donné que Summer est contre l'air conditionné... Elle me dit :
— Tu as encore faim ?
— Non, pas pour le moment
— OK, on va faire des courses...
On va à Berverly Hills, là où les stars ont leur villa. Je voudrais bien les voir mais je n'ose pas le dire à Summer. Ensuite, on va à Rodeo Drive. C'est l'avenue des magasins de luxe. J'achète un short très court et très cher. C'est Sam qui paie. J'achète aussi deux robes et deux maillots... Summer achète un pantalon en cuir ou en vinyle, je ne sais pas. Elle achète tout avec "ma" carte !
Quand on a fini, les courses, on va à Venice et on se balade en maillot... Le soir, on mange avec ses amis. Il n'y en a que deux, les autres travaillent pour l'inauguration du Slave Paradise. Je n'ai pas trop envie de faire la fête, d'autant que Summer me rationne : je n'ai droit qu'à deux bières.
On rentre tôt... Avant de dormir, elle me laisse filer entre ses cuisses pour lui dire bonne nuit.

 

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J'aime son odeur et son goût... sauvage. Quand elle a joui, je remonte dans le lit et je me colle à elle, mais j'ai droit à un :
— Colle pas, fait trop chaud !
Ben, oui, il suffirait de mettre l'air-co !
***,
C'est l'ouverture du "Slave Paradise" aujourd'hui. J'apprends mes cinq pages de textes en une heure au lieu de deux. J'ai de la mémoire, mais il faut que je sois motivée... Je viens à peine de réciter le texte à Summer quand son téléphone sonne. Elle regarde sur l'écran qui l'appelle et dit :
— Bonjour Monsieur Sam.
— ...
— Oui, on est dans un motel, près du studio.
— ...
— D'accord, on arrive.
Elle coupe et me dit :
— On doit passer voir Monsieur Sam.
— Mais l'inauguration....
Gros soupir de Summer, qui me dit :
— Les rendez-vous avec Monsieur Sam sont rapides. Mets une robe.
Moi qui voulais mettre mon mini short ! Je m'habille, on prend la voiture et on part. J'essaie bien de lui demander pourquoi il doit nous voir, mais elle n'en sait rien et je dois arrêter de l'énerver ! On roule vers le sud pendant 20 minutes au moins, avant de s'arrêter devant un immense golf. On entre et une jeune femme vient à notre rencontre en disant :
— Mademoiselle Summer ?
— Oui.
— Veuillez me suivre.
Elle nous conduit sur une grande terrasse qui surplombe le golf. Elle nous dit :
— Monsieur Boizano a presque fini. Puis-je vous servir quelque chose ?
Summer demande un daiquiri pour elle et un Fanta pour moi. Merde ! Je m'en fous de son Fanta. Mais bon, Monsieur Sam lui a dit de contrôler ma consommation d'alcool.
Il arrive bientôt, un peu rouge d'avoir joué sous le soleil. On se lève toutes les deux. Il dit :
— Asseyez-vous les filles. Je vais vous expliquer en quelques mots, parce que je suis pressé. Il y a un problème de droits avec le film et évidemment, ils le disent au dernier moment. Le film ne se fera pas.
Je m'écrie :
— Oh, noooon ! Je connais cinq pages par cœur.
Ils me regardent tous les deux, agacés. Summer me dit :
— Va voir si j'ai bien fermé la voiture !
— Mais...
— Je dois répéter ?
— Nooon...
Je me lève et je quitte la terrasse. Je m'en fous de leur film d'ailleurs, je vais... aller jusqu'à la voiture. Elle est restée ouverte, mais je n'ai pas la clé pour fermer et puis je sais bien que c'est un prétexte. Je retourne sur la terrasse, Summer est seule et termine son verre. Je lui dis :
— Alors, c'est quoi ces conneries de...
— D'abord, quand je parle avec quelqu'un, tu n'interviens pas. !
— Oui Summer, pardon, mais je...
— Ferme-la, Ashley ! Je ne le répéterai pas ! Le film ne se fait pas. Comme tout est prévu pour demain, ils ont un autre projet pour toi. Tu vas être Cléopâtre.
— Mais... euh... quoi ??
— Je disais, tu seras Cléopâtre. Il y a des décors qui viennent de servir pour un film sur Aménophis IV et tu n'as que 2 pages à apprendre...
Elle attend... J'ai retenu la leçon, je ne dis rien. Elle continue :
— Ce sera sexy pour la version grand public et nettement plus pour la vidéo et le Net... Et puis, je te rappelle qu'à l'époque de Cléopâtre, il y avait déjà des esclaves... Il y aura des vraies esclaves dans le film.
Elle fait une pause... Je me tais, bien que j'ai mille questions à lui poser. Elle poursuit :
— Bien, tu apprends à te taire... Alors, ce qui va te plaire, c'est qu'on peut acheter deux esclaves cet après-midi, pour le film.
J'ai envie de dire "yiiiipppiiiee" ! Mais il paraît que je ne peux plus parler. Je baisse les yeux et je ne dis rien. Elle rit et ajoute :
— T'es vraiment une gamine. J'ai fini, vas-y, parle.
— Et on pourra les garder, les esclaves ?
— Non, elles iront au studio. D'ailleurs, je n'ai pas envie de m'encombrer de deux esclaves. Si j'ai envie que quelqu'un me lave une culotte ou me masse les pieds, il y a toi.
Elle rit... Je ne sais pas comment je dois le prendre ! Je serai bientôt une star et alors je lui dis... euh... Qu'est-ce que tu lui dis,  Ashley ?
— Je ne ressemble pas du tout à Cléopâtre, j'ai un petit nez
— C'est vrai, mais tu es belle et tu as la peau mate. Il y a juste la couleur des cheveux, mais on mettait des perruques à cette époque. Tu devras sans doute retrouver ta couleur naturelle. Et sinon, tu es vicieuse, arriviste et manipulatrice. Tout le portrait de Cléopâtre... D'ailleurs, ce ne sera pas une biographie, mais surtout la période de sa vie où elle était la maîtresse d'Antoine et de Jules César en même temps.
Je ne réponds rien car on arrive en vue du "Slave Paradise". Il va s'agir de la première vente officielle d'esclaves. Avant ça, il y avait des ventes organisées par les shérifs, c'est comme ça que j'ai vu une esclave à Notasulga. Le nouveau président, John D. Birch, a confié la vente des esclaves à Sam Boizano et à sa société. On arrive bien à temps, mais il y a déjà pas mal de monde qui attend devant l'entrée et une file de voitures attend l'ouverture des parkings.
Nous, on ne fait pas la file. On prend un petit sentier jusqu'à une porte dissimulée par des bambous. Summer fait un numéro sur son téléphone et dit :
— Summer Hunter.
La porte s'ouvre. J'aime être avec elle. Un garde vient à notre rencontre. Ils s'embrassent. Puis, en me regardant, il dit :
— Oh la jolie esclave ! Tu vas la vendre ?
Ils rient tous les deux. Ouais, on me l'a déjà faite, celle-là ! Summer répond :
— Elle commence demain le nouveau film de Monsieur Sam. Si elle joue mal, on la vendra.
Le garde me prend contre lui en disant :
— Bonjour future star ou future esclave.
Il m'embrasse sur la bouche tout en mettant sa grande main sur mes fesses. Je lui dis :
— Bas les pattes ! Attentat à la pudeur et voies de fait, ça va vous coûter cher, mon gaillard !
Ou alors je lui rends son baiser et je bouge mes fesses sous sa main. Summer lui dit :
— Elle se conduit déjà comme une esclave !
— On te charrie, petite ! On m'a parlé de toi comme d'une future star et Monsieur Sam a dit à tout le monde que vous veniez choisir deux filles.
Ça, c'est cool. Il donne des pass VIP à Summer en disant :
— Tout est installé dans la clairière. C'est la folie, tu vas voir. Il y aura même une vedette de talk-show pour présenter la vente.
On le remercie et on entre dans le Parc. Summer sait où c'est. On se mêle aux premiers visiteurs et on arrive dans une très grande clairière transformée... en salle de vente ! Il y a des rangées de fauteuils sur des gradins et une scène surmontée d'un très grand écran.. Il y a deux autres écrans géants sur les côtés. Une grande structure transparente sert de toit. Ah ! Ils n'ont pas regardé à la dépense, Sam et sa société !
Une fille mignonne nous conduit dans la partie VIP. Summer embrasse quelques personnes qu’elle connaît. Les gens arrivent et trois quarts des places sont occupés. À 14 h juste, on voit arriver un char, comme en avaient les Égyptiens ou les Romains, sauf que celui-ci n'est pas tiré par des chevaux mais par quatre filles, deux noires et deux blanches. La conductrice a un fouet en main et elle le fait claquer sur les fesses des filles qui galopent à toutes jambes. C'est beau, ces corps couverts de sueur, de poussière et de marques de fouet... Les filles sont attachées à trois pièces de bois et elles ont toutes un mors. Le char fait une fois le tour du stade, puis s'arrête au milieu. La conductrice est une femme dodue d'une quarantaine d'années. On voit son visage sur les écrans géants... Oh ! mais je la connais, c'est Vera Humphrey, la reine des talk-shows. Son émission cartonne. Les gens la reconnaissent et applaudissent, moi aussi. Summer me regarde, amusée. Vera prend un micro, oui, ça ne fait pas très "romain". Elle dit :
— Mesdames, Messieurs, bienvenue au Slave Paradise. Vous allez voir quelques attractions. Ensuite nous procéderons à une vente d'esclaves, toutes munies d'un certificat sanitaire. Vous pourrez vous offrir la servante docile, la compagne de vos rêves ou la vendeuse idéale. Et maintenant, mes pouliches vont refaire un petit tour de piste et les attractions vont suivre. Bon amusement et bons achats.
Elle refait le tour du stade, son fouet claque plusieurs fois sur les croupes des pouliches et elle repart. Après elle, c'est un homme qui se trouve juste au-dessus de nous qui prend la parole. Son visage apparaît sur les écrans. Il dit :
— Mesdames, messieurs, vous allez assister à trois reconstitutions de l'esclavage à travers les âges. Pour commencer, nous voici en 50 avant Jésus Christ, des esclaves gauloises sont emmenées pour être vendues au marché aux esclaves de Rome...
Un cavalier romain arrive sur la piste, il est suivi de deux rangées de filles blondes et nues, attachées les unes aux autres. De chaque côté, des légionnaires les fouettent. Eh ! Mais elles n'ont rien fait de mal ! C'est vrai, mais ce sont des esclaves... Ah, oui, d'accord.
Elles font le tour de la piste. Sur les écrans géants, je guette le moment où les fouets touchent leurs fesses et leurs cuisses. Summer, qui connaît mon intérêt pour... les reconstitutions historiques, me glisse :
— Tu vois, si je t'avais vendue, tu serais parmi ses esclaves.
Même pas possible, je ne suis pas blonde.... enfin si, un peu, mais je vais récupérer ma couleur. Les esclaves romaines repartent. L'animateur annonce :
— Nous allons faire un bond dans le temps, passer de -50 au 16e siècle, voici des esclaves enlevées par les pirates barbaresques et par des trafiquants arabes. Elles vont être vendues au marché aux esclaves d'Alger.
Entre un dromadaire sur lequel se trouve un... Touareg. Derrière lui, il y a deux files d'esclaves de toutes les couleurs, depuis une rousse à la peau blanche comme du lait jusqu'à une Noire couleur ébène, en passant pas des métisses. J'avais déjà remarqué qu'ici, on aimait mélanger les couleurs, comme pour les filles qui devaient faire un numéro de pom-pom girls. Les filles se mettent à genoux sur une rangée, pour qu'on puisse les examiner sur les grands écrans.

 

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Des touaregs fouettent les filles et ça plaît beaucoup au public qui crie et applaudit.
Ils font un tour et s'en vont. L'animateur dit :
— Plus près de nous, voici une reconstitution datant de la période heureuse de l'esclavage dans le Sud des États-Unis.
Summer me dit :
— Chez toi.
C'est vrai. Entre un beau cavalier sur un étalon noir. Sur l'écran, je le reconnais : c'est le beau Texan qui m'a tirée dans les chiottes... Euh... je me laisse aller, là... Je reprends : c'est le gentilhomme avec qui j'ai eu un échange intime dans un endroit discret. Faut que j'apprenne à mieux causer, bordel !
Le beau Texan est suivi de deux rangées de filles, toutes Noires. J'aime bien voir leurs belles fesses se crisper sous le fouet ! J'en choisis une que j'achèterai tout à l'heure.

A suivre.

Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.

 

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Les tomes 1 à 5 de "Mia sans dessous" sont ici :
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html

Mes livres non illustrés, ici : https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …


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Par miasansdessous - Publié dans : BDSM - Communauté : blog sexe des amis
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Jeudi 30 mai 4 30 /05 /Mai 20:56

Les belles esclaves s’en vont. Elles sont remplacées par les "pom-pom girls" que j’ai vues à l’entraînement. Elles se sont bien améliorées en deux jours... Le fouet doit y être pour quelque chose. La fille qui nous a placées vient donner à Summer une tablette en disant :
— De la part de Monsieur Boizano, Mademoiselle Summer.
Et moi ? Heureusement, Summer me la donne et m’explique le fonctionnement :
— Pour acheter une fille ou enchérir, tu tapes son numéro, puis tu tapes une somme, puis OK. T’as compris ?
— Je crois...
J’ai pas bien l’habitude de ces machins.
Il y a du soleil et pas mal de lumières, mais des projecteurs s’allument et éclairent un homme qui arrive sur scène. C’est un homme grand et bien en chair avec des cheveux très noirs. Sur l’écran géant au-dessus de lui, je vois que ses cheveux doivent être teints et qu’il est très maquillé. Summer me dit :
— C’est celui qui présente les élections de Miss USA et Miss Univers.
L’homme est un pro. Il dit :
— Bonsoir chers amis. La Société Slave Trading International et moi-même vous souhaitons la bienvenue. Vous allez être les premiers à acheter officiellement une esclave. Certains disent que l’esclavage est un retour vers le passé. C’est vrai, mais pourquoi ne pas s’inspirer de ce qu’il y avait de positif dans le passé ? Je vais vous donner un exemple. Il crie :
— Les filles !
Aussitôt, deux filles nues arrivent sur scène en portant un lourd fauteuil. Il s’assied, tandis que les filles se mettent à genoux devant lui, puis posent leurs bouches sur le bout de ses pieds. De cette façon, on est sûrs que ce sont des filles : on voit très bien leurs chattes roses. Surtout sur l’écran géant. Les spectateurs applaudissent. Le présentateur dit :
— Apéritif !
Aussitôt, elles se lèvent et courent dans les coulisses. Il ne leur faut que quelques minutes avant de revenir avec un plateau sur lequel se trouve une bouteille, un verre, des chips... La fille qui tient le plateau, se met à genoux et tend le plateau pour qu’il soit à portée de main de son maître. L’autre fille remplit le verre et le lui tend. Il prend le verre et de l’autre main, il indique le sol devant lui. Aussitôt, elle se met à quatre pattes et il pose ses pieds sur les reins de la fille en disant :
— On n’est pas bien là, après une journée de travail, à la fraîche avec deux esclaves ne cherchant qu’à satisfaire vos moindres désirs ? Car sinon... voici ce qui risque de se passer.
Il pousse du pied la fille "repose-pieds" en criant :
— Fouet !
La fille se lève et court dans les coulisses. Elle revient avec un fouet, se met à genoux et tend le fouet, tête baissée. Il le prend en disant :
— Position !
La fille se remet à quatre pattes devant lui, puis posant son front sur ses mains qui sont sur le sol, elle offre son postérieur à l’injuste punition, puisqu’elle n’a rien fait... Je regarde Summer, elle soupire et dit :
— Oui, c’est injuste, Ashley !
Le présentateur s’est bien exercé, parce que, malgré son arthrose (c’est une supposition) il est très habile et depuis son fauteuil, les lanières de son fouet viennent claquer une dizaine de fois sur les fesses de l’esclave. Sur l’écran géant, on voit les fesses se marquer de lignes rouges et le visage de l'esclave en pleurs. Les spectateurs applaudissent et comptent les coups. Ils ne sont pas gentils, hein ? C'est vrai, mais, c’est une esclave... Quand il a fini, la fille vient le remercier et lui embrasse les mains en pleurant. Le présentateur dit :
— Voilà, la vie avec des esclaves... Maintenant, la vente va commencer.
Il s’en va, sous les applaudissements, avec ses deux esclaves qui traînent le fauteuil.
Des hommes amènent une sorte de pupitre, comme ceux qui servent aux hommes politiques pour faire des discours, parfois mensongers, à ce qu’il paraît. Sur le dessus du pupitre, il y a un micro et un ordinateur. Un homme d'une cinquantaine d'années arrive et s’installe derrière le pupitre. Il dit :
— Bonjour, je m’appelle Max Salerno et je suis commissaire-priseur. Nous allons procéder à la vente de 50 filles. Elles sont toutes saines, marquées et éduquées. Je vais vous parler du marquage.
Un garde fait claquer son fouet. Aussitôt, une fille nue arrive sur la scène. Le commissaire-priseur poursuit :
— Les filles portent un collier avec un œillet, de façon à les attacher ou à les tenir en laisse.
On voit le collier sur l’écran. Il continue :
— Ce collier porte le numéro matricule de l’esclave. Ce numéro est aussi marqué sous le pied gauche des esclaves.
La fille se couche sur le dos, ses pieds vers nous. On regarde tous l’écran géant : sur la plante du pied, il y a une série de lettres et de chiffres. Le commissaire explique :
— Il s’agit du numéro de matricule des filles, brûlé au fer rouge comme avant, quand on marquait le cul du bétail.

 
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Rires parmi les spectateurs. Je pense qu’elles ont dû souffrir, les pauvres. D’accord, ce sont des esclaves, mais quand même. Le commissaire poursuit :
— Il y a une deuxième marque au fer rouge sur les filles.
La fille se lève et il indique le haut de sa cuisse. Je vois sur le grand écran SP entourée de chaînes. Les lettres sont grandes, fines, très élégantes, je dirais faites par un artiste.. Il explique :
— Les initiales SP, sont celles de Slave Paradise. C’est une garantie de qualité que les filles sont très fières de porter.
Ça, ça m’étonnerait... Il retourne derrière son pupitre et poursuit :
— Une fille qui a ces deux marques est définitivement une esclave ! Bien, je vais procéder à la vente de la première esclave.
Un garde arrive sur la scène. Trois filles arrivent sur la scène.

 

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À part le collier, elles sont  aussi nues que moi sous la douche. Elles se mettent dans la position de l’esclave qui attend les ordres : cambrée, les jambes écartées, les mains dans la nuque. Max Salerno présente la première fille :
— Cette superbe fille est une vraie blonde. Elle a été élue miss New Hampshire, mais elle a été arrêtée alors qu’elle conduisait une voiture avec 0,9 gramme d’alcool dans le sang. De plus, elle milite dans un parti interdit. Le tribunal l’a condamnée à 10 ans d’esclavage à condition de ne plus avoir de condamnation. Elle est en bonne santé et son anus est vierge. Vous allez pouvoir la détailler sur les écrans géants.
Le garde qui est devant elle fait claquer son fouet et dit :
— Position 2 !
Elle se met à 4 pattes, le nez touchant le sol. Un coup d’œil sur les écrans géant et elle n’a plus de secret pour personne : on voit sa chatte qui fait la moue, on le ferait à moins. Son anus un peu plus foncé nous fixe, il n’a pas l’air très à l’aise. On le comprend aussi. Il risque de bientôt se prendre 20 cm de bite dure. Restera plus vierge longtemps, le petit bougre !
Clac !
— Position 3, de face.
Elle saute sur place. Ses seins montent et descendent. Cris de joie de la foule !
Clac !
— Position 3, de dos.
Elle se retourne et saute à nouveau. Là, ce sont ses fesses qui dansent ! Elle saute pendant plusieurs minutes. Enfin, le garde crie :
— Stop !
Max Salerno commence la vente. Il dit :
— Mise à prix 5.000 $. Qui dit mieux ?
Bêtement, je crie :
— Moi.
Tout le monde me regarde et le pire, c’est qu’on voit mon visage qui devient rouge sur l’écran. Max Salerno me dit :
— Utilisez votre tablette, ma petite demoiselle.
Summer me prend la tablette des mains. D’autres gens enchérissent. Summer me montre comment faire. J'écris 5.750 $. Max Salerno dit :
— 5.750 $ pour la petite demoiselle toute rouge qui est à sa première vente aux enchères, manifestement.
Aussitôt, un acheteur propose 6.000 $, puis un autre 6.250 $.
La Miss finit par être adjugée à 12.500 $, ça dépasse mon budget ! Un garde vient attacher une laisse à son collier et la conduit dans un enclos où son nouveau maître pourra la récupérer. Max Salerno regarde sa tablette et dit :
— Le propriétaire de Miss New Hampshire nous signale qu’elle sera à la disposition de tous au Moonlight Inn de Las Vegas.
Il fait sa pub, le gars. N’empêche, ça donne envie d’y aller... Summer me dit :
— Tu t’es bien fait remarquer !
— Mais, euh... je pensais...
— Évite de penser, ça ne te réussit pas.
Ça, c’est Summer ! M’en fous, je penserai plus, je parlerai plus, je.... Elle reçoit un SMS et elle me dit :
— On peut monter jusqu’à 7.500 $
Super ! Je décide de penser et de parler à nouveau ! Deux autres filles blanches se vendent très cher à des acheteurs noirs. Ben oui, normal qu’ils aient envie d’esclaves blanches... Par contre, une jolie Noire est achetée par des Blancs. Une métisse arrive sur le devant de la scène. Summer me dit :
— Les métisses se vendent moins cher
— Pourtant cette fille est super belle.
— Oui, mais tu as vu que les acheteurs noirs achètent des blanches. Via le Net, il y a des acheteurs des pays d’Afrique et des Émirats.
Ça me dépasse un peu. La métisse est belle avec un petit nez, une bouche appétissante, des seins en poires et surtout de belles fesses... ce qui est important si on est obligé de la punir. J’enchéris deux fois, bêtement, je le fais trop vite, et enchéris sur moi. Max Salerno s’adresse directement à Summer dont le visage apparaît sur l’écran. Il lui dit :
— Mademoiselle avec le tee-shirt "Virgin Suicide", ne laissez pas votre petite sœur jouer avec la tablette.
Je donne vite la tablette à Summer, puis je vais me cacher dans un trou de souris. Je m’en fous de leur vente ! Quelques minutes plus tard, Summer me dit :
— On l’a.
— On a quoi ?
— La métisse...
Bon je sors de mon trou. Elle me dit :
— Dis-moi celles qui te plaisent.
Oui, c’est mieux comme ça... parce qu’elles déconnent, leurs tablettes ! Je choisis encore deux filles, mais elles sont vendues vraiment trop cher. La troisième que je choisis, on l’a pour 6.250 $. C’est une jolie brune, sans doute hispanique, moins recherchée aussi. Les gens ne savent pas ce qui est beau ! Il faut une bonne heure avant que toutes les filles soient vendues. Max Salerno annonce :
— Mesdames et Messieurs, vous pouvez venir payer et retirer vos achats. Prochaine vente demain à 14 heures.
On se dirige vers l’enclos des 50 filles. Elles sont collées les unes aux autres. Il y a des gardes qu’on connaît et Max Salerno est là, aussi. Summer me dit :
— Va t’excuser auprès de lui.
Ça, jamais ! Qu’il aille se faire foutre et elle aussi. Elle me pince méchamment le bras et je vais près de lui en bredouillant :
— Pardon pour tout à l’heure. Je n’ai pas l’habitude et...
Oh ! Il me prend par la taille et me dit :
— C’est pas grave, petite. Tu sais que si je devais te vendre, on ferait un carton !
— Euh... oui, c’est gentil, mais je ne suis pas une esclave.
Sa main descend sur mes fesses tandis qu’il répond :
— Pas encore.
Là, je panique ! Mais, il se met à rire et il dit :
— Je te charrie. Sam croit beaucoup en toi.
— Vous êtes un de ses amis ?
— Son beau-frère et je connais bien Summer, ta grande sœur.
Ils se sont bien foutus de moi de nouveau. Un garde vient me tendre deux laisses avec les deux filles à l’autre bout. Je dis à Summer :
— On peut les garder un peu ?
— Tu sais bien que non, elles iront directement au studio... mais on va faire des photos. Ensuite, tu as ton texte à apprendre.
Ah, oui, c’est vrai. Le photographe arrive. Il me photographie avec les filles en laisse... Summer me dit :
— Assieds-toi, les filles vont t’embrasser les pieds.
Elle leur dit :
— Vous avez entendu ?
Les achats, en chœur :
— Oui Maîtresse.
Aussitôt, elles se mettent à genoux, enlèvent mes sandales et couvrent mes pieds de baisers. C’est mignon... Ensuite, je dois marcher avec les deux esclaves à quatre pattes au bout de leurs laisses. Oh ! On nous voit sur l’écran géant, mais cette fois-ci, ça me fait plaisir. Quelques photos plus tard, Summer dit au photographe :
— On doit y aller, la petite a du texte à apprendre pour demain.
Mais pourquoi tout le monde me traite comme si j’étais une gamine ? Oui, bon, peut-être que je n’ai pas une conduite très... mature.
Je n’ai que deux pages à apprendre pour demain. Summer me dit :
— On va aller répéter sur la plage. Là, c’est plus facile de te punir si tu te concentres pas.
Et allez, encore une fois, on dirait que je suis une gamine !
On va sur la plage  qui est à côté. Ils ont fait une partie naturiste. C’est là qu’on va... Il y a un couple qui flirte dans un coin et un groupe de jeunes assez loin. Beaucoup de gens sont à la vente et si ça se trouve, il y a encore des attractions qu’on rate ! J’enlève ma robe et mes sandales, c’est tout ce que j’ai sur moi. J’aime être nue dans la nature, ou, plus exactement, j’aime être nue tout court. Summer enlève son jean puis son tee-shirt... Je vois apparaître ses tatouages et les poils noirs et brillants de ses aisselles. Le buisson de sa chatte m’attire terriblement. Elle me dit :
— Quoi ? J’ai du noir sur le nez ?
— Non, tu me plais et...
— Et tu vas apprendre ton texte... Lis tes deux pages et puis relis-les et recommence. Moi je vais nager. Ah, Ashley...
— Oui ?
— Tu vois ces bambous ?
— Euh... oui...
— Quand je reviens, si tu ne connais pas les 3/4 du texte, je vais en couper un. Tu sais pourquoi ?
— Oui, mais je vais me concentrer et apprendre et...
Elle part vers la mer.

A suivre.

Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
 

 

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Les tomes 1 à 5 de "Mia sans dessous" sont ici :
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html

Mes livres non illustrés, ici : https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …

Par miasansdessous - Publié dans : BDSM - Communauté : LesMeilleursBlogsdeSexe
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Vendredi 7 juin 5 07 /06 /Juin 13:56

Je lis le script... Il s'agit d'un dialogue entre Cléopâtre et son frère. Oh ! Ils sont amants ! C'était la mode à l'époque, paraît-il. Ils sont couchés l'un à côté de l'autre sur un divan. Je lis. Mon frère me dit :
— Bonjour ma sœur chérie, avez-vous réfléchi à notre conversation ?
Je réponds :
— Oui et je suis d'accord avec vous...
Et là, je vois un garde avec qui on a mangé à Venice. Il tient deux esclaves en laisse.

 

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Il me voit et me fait un signe. Aussitôt, je me lève et je monte le petit escalier. La plage est en contrebas. Je vais l'embrasser et je lui demande :
— Tu les as achetées ?
— Oh non, je n'ai pas les moyens. C'est un client de l'hôtel. Dis, j'ai vu que tu avais aussi acheté deux filles.
— C'est pour le film que je commence demain. Elles vont rester dans les studios. J'ai un peu fait la conne à la vente, quand il fallait... en...
— Enchérir. Tu sais, tout le monde t'a remarquée, c'est ce qui compte ici...
Il pose une main sur mon sein gauche en disant :
— Tu as les plus beaux seins de Californie.
Je ris. Je l'aime bien... On parle encore un moment, jusqu'à ce qu'il me dise :
— Dis, il y a Summer qui fait signe.
Oh merde, Summer ! Je l'avais oubliée, celle-là ! J'embrasse le garde et je redescends sur la plage en disant :
— Je devais demander quelque chose au garde.
— Quoi ?
— Mais... euh...
Elle a un double des feuilles et lit :
— Bonjour ma sœur chérie, avez-vous réfléchi à notre conversation ?
— Oui et je pense... que....
Merde, je cale !
Summer prend le couteau qui est dans la poche de son jean et va couper un bambou. C'est du bluff ! Demain, je commence le film et je dois avoir des fesses immaculées. Je lui dis quand même :
— Summer, je te jure que... je... j'allais le faire et...
 Elle me prend par un bras et me lève aussi facilement que si j'étais une poupée Barbie ! Je crie :
— Nooon... J'apprendrai !
Elle s'assied sur le sable et me couche en travers de ses cuisses. Je crie encore et je la supplie, jusqu'à ce que :
— Aïeeee !!!!
Sa saloperie de bambou vient de frapper mes fesses. Elle ne frappe pas très fort, mais suffisamment pour que j'aie les larmes aux yeux et que je la supplie honteusement ! Maintenant, le bambou frappe le haut de mes cuisses. Je crie :
— Non Summer... pitié... aïeee..... j'étudierais, je te jure, aïe... je t'en prie... aïe !!!
Elle s'arrête et me dit :
— Mets-toi à genoux.
Elle me donne mes feuilles en disant :
— Maintenant, tu vas apprendre ton texte.
Malgré une folle envie de frotter mes fesses et mes cuisses, je lis mes feuilles. Il n'y avait qu'un couple et un petit groupe sur la plage, mais mes cris ont attiré plein de gens. Il y a un groupe autour de nous, ravi du spectacle. Il y en a même qui ont fait des photos ! Un gros homme vêtu d'un costume blanc froissé dit à Summer
— C'est votre esclave, Mademoiselle ?
Il a un accent russe. Elle répond :
— Non, c'est ma petite sœur, mais je me suis aperçue qu'elle a volé de l'argent dans mon sac, pendant que je me baignais.
N'importe quoi ! L'homme lui dit :
— Je suis à l'hôtel. Je vous ai aperçues depuis la terrasse et je suis venu voir le spectacle. Dites...
Il baisse la voix et je n'entends plus ce qu'il dit. Tant mieux, parce je lis mon texte pour de vrai, cette fois-ci. Oui, je suis conne ! Oui, j'ai besoin que Summer me punisse pour que je me décide à étudier. Je vais changer, je... je vais commencer à apprendre le texte. Summer vient me tirer une oreille. Je crie :
— Aïe !!! Mais, j'étudie...
— Tu ne bouges pas d'ici et tu lis ! Compris ?
— Ouiiii....
Elle s'habille et je la vois aller sur la terrasse de l'hôtel avec le gros Russe. Je lis, relis, re-relis... Pour finir, je le connais, mais je continue quand même. J'entends siffler, c'est Summer qui siffle entre ses doigts depuis la terrasse de l'hôtel. Elle me fait signe de venir. Je mets ma robe et je les rejoins. À une table, il y a Summer, le Russe, une jolie Métisse, un autre Russe et une Hispanique jeune et jolie. Je me dis que ça doit être deux Russes pleins aux as avec deux jolies putes. Summer prend ses pages de dialogue et elle lit la première phrase :
— Bonjour ma sœur chérie...
— Bonjour...
Elle me coupe et dit :
— Joue !
— Mais, comment...
— Joue ton personnage.
Évidemment, tout le monde nous regarde. Bah, ce ne sera jamais que la quatrième ou cinquième fois, aujourd'hui que je suis le centre d'attention ! Bon, je joue mon personnage.
Je me trompe une fois. Je recommence très vite et ça va... À la fin du texte tout le monde m'applaudit. Je salue, un peu rouge quand même.
Summer fait signe qu'on m'apporte une chaise. Le gros Russe me dit :
— Tu es jolie et tu joues bien, tu es une futurrre starrrr (il roule les "r").
— Merci, c'est très gentil.
— Et les fesses, ça va ?
Je fais la grimace. Summer me dit :
— À propos de tes fesses, tu es consciente que si je n'étais pas ferme avec toi, tu ne le connaîtrais pas, ce texte ?
— ... Euh... oui...
— Alors ?
— Merci, Summer...
Les autres se marrent. Oui, je la remercie de m'avoir fouettée, mais si je voulais... non, je sais que j'ai besoin d'elle. Elle me dit :
— C'est bien, mais ce serait encore mieux de le faire spontanément. Tu veux un verre ?
— Oh oui !
Elle commande une margarita. J'adore ça... et ça va calmer le feu que j'ai aux fesses, pas dans le bon sens de l'expression ! Ils discutent des ventes d'esclaves... Les Russes vont acheter des filles demain. On boit encore, même moi, j'ai droit à une deuxième margarita. Un des Russes dit :
— Allez vous acheter quelque chose au magasin de l'hôtel.
Il leur donne des billets de 100 $. La Métisse dit :
— Oh, merci daddy.
Des putes ! Elles s'en vont... Et moi ?? Le Russe me dit :
— Tu veux aussi acheter quelque chose ?
— Oh oui, M'sieur.
Il me donne aussi des billets de 100 $. Je sais pourquoi il fait ça, ils veulent discuter avec Summer. Pas de problème !
Je rejoins les filles. La Métisse me dit :
— C'est vrai que tu joues dans un film ?
— Oui, on commence demain.
— Dis, si tu as besoin de figurantes, pense à nous... On fait tout ce qu'on veut et on a la langue agile et puis tu aurais des alliées...
Pourquoi pas ? Elles sont jolies et putes : tout ce qu'il faut pour réussir dans le cinéma. Elles me donnent leurs numéros de téléphone. Je leur promets de parler d'elles. Je vais aussi faire venir Johnny, le photographe et dessinateur d'Atlanta... J'achète une chaîne en argent avec... je suis un peu gênée de le dire... avec la fée Clochette. Je l'aime bien avec ses belles fesses et ses ailes... Une serveuse vient me dire :
— Votre amie vous demande de la rejoindre, Mademoiselle.
J'embrasse les filles et, oui, je leur promets que je parlerai d'elles...
Je rejoins la terrasse. Summer remarque tout de suite ma petite fée et elle lève les yeux au ciel. Elle fait ça souvent quand on est ensemble. Elle me dit :
— Embrasse ces messieurs, on s'en va.
Je vais les embrasser et ris quand leurs mains s'égarent sous ma jupe.

 

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Un des Russes dit :
— Dobryy vecher devushki.
Summer répond :
— Spasibo, uvidimsya zavtra, gospoda.
Oh ! Elle parle russe ? On s'en va et je lui demande :
— Tu parles russe ?
— Ma grand-mère est russe.
— Et... qu'est-ce que vous avez dit ?
— Il m'a dit "Bonne soirée, les filles" et j'ai répondu "Merci, à demain Messieurs."
— On les revoit demain ?
À nouveau, Summer lève les yeux au ciel en disant :
— Pas toi Ashley, tu tournes un film demain.
— Oui, mais le soir ? Ils sont généreux.
— Demain, si tu as fini assez tôt, on peut sortir avec eux.
Je me décide à lui dire quelque chose que j'ai sur le cœur ou plutôt sur les fesses :
— Ne me frappe plus. J'étudierai....
— OK. Si tu as retenu la leçon, c'est parfait...
J'étudierai mes textes, je dois absolument me concentrer. On va manger à Venice, mais les amis ne sont pas là, ils sont toujours à la vente ou au service après-vente... De toute façon, je suis fatiguée. On rentre vers 9 h. Summer me dit :
— Tu te prépares et tu vas au lit.
— Et toi ?
— J'ai un truc à faire...
— Je peux venir avec toi ?
— Demain, tu dois être en forme. Tu te couches et tu dors. Et si tu te relèves...
Oui, bon, ça va, pas besoin de menaces... Je passe à la salle de bain, me laver les dents et faire pipi. Summer s'en va. M'en fous, je dors pas, je vais... La main sur ma chatte, je m'endors.
***
— Aïïïe !!
Je suis réveillée par une claque sur les fesses et Summer qui me dit :
— Debout, j'ai pas entendu le réveil ! On doit se grouiller. Tu as cinq minutes pour la salle de bain et on part.
Pas de ma faute si elle n'entend pas le réveil ! Elle avait qu'à se coucher tôt, comme moi. Je passe à la salle de bain. Et je me lave les dents quand elle entre et m'attrape par un bras en disant :
— Mets ta robe, on s'en va.
Mais... euuuuh ! J'enfile ma robe plus très propre, mes sandales. On sort de l'hôtel. Et le petit dèj' ? Y en a pas. Elle me dit :
— C'est à 10 minutes. On court, on ira plus vite.
Courir en sandales, quand il y a près de 30°, c'est pas le pied ! On arrive devant le studio, moi rouge et en nage ! Le gardien du studio connaît Summer et ils s'embrassent. Elle connaît tout le monde. Il me dit :
— Bonjour Mademoiselle Ashley, bienvenue.
Cool... je l'embrasse aussi. Je suis une future star qui a su rester simple. Il prend son téléphone et appelle. Quelques minutes plus tard, une jeune fille plutôt mignonne arrive en courant. Elle me dit :
— Bonjour Mademoiselle Stirland, je suis Kim, votre assistante.
Je lui dis bonjour et lui serre la main, oui, je ne vais pas embrasser tout le monde. Summer lui donne un papier en disant :
— Tu donnes ça à Madame Wolf. N'oublie pas.
Puis à moi :
— Je serai là en fin d'après-midi. Ne me fais pas revenir avant, Ashley.
Elle s'en va. Pourquoi elle me laisse seule ?

À suivre.

 

Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
 
l12.jpg 


Les tomes 1 à 5 de "Mia sans dessous" sont ici :
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html

Mes livres non illustrés, ici : https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …

Par miasansdessous - Publié dans : BDSM - Communauté : LesMeilleursBlogsdeSexe
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